On pensait que le sieur Trump n’oserait pas se retirer des Accords de Paris sur le réchauffement climatique. Il l’a fait tandis le nouveau directeur de l’Agence de l’Environnement s’emploie à abroger les dispositions du Clean Air Act qu’avait fait voter le président Obama. Même si ce n’est pas toujours facile Trump s’emploie à détruire systématiquement les initiatives de son prédécesseur. Aussi ne saurait-on s’étonner qu’il ait décidé de « décertifier » les accords nucléaires de juillet 2015 conclus entre (...)
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La crise iranienne
Dernier ajout : 30 octobre 2017.
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Trump contre l’Iran, premier round
30 octobre 2017, par -
Iran nucléaire : une prolifération stabilisatrice favorable à la sécurité internationale ?
14 avril 2016, parL’accord de Vienne du 14 juillet 2015 venant compléter les dispositions du protocole additionnel du traité de non-prolifération, bride ou empêche, pour des durées allant de 10 à 15 ans un certain nombre d’activités nucléaires iraniennes. Sont ainsi limités l’enrichissement d’uranium, la quantité d’uranium enrichi détenu ou encore le nombre de centrifugeuses. Téhéran est contraint de transformer l’installation de la centrale à eau lourde d’Arak de sorte qu’elle ne puisse pas produire de plutonium de qualité (...)
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Iran’s New President Will Retreat from the Nuclear Program
13 juin 2013, parSommaire-
With the clarification of the names of the candidates in Iran, the focus now has shifted to their possible policies. A key question for Iran analysts concerns Iran’s nuclear program - which has emerged as the most complex issue in Iran’s foreign policy since the end of the war with Iraq in 1988 – and what direction it will take with each of the presidential hopefuls if he wins the election in June.
My prediction is that, if international sanctions continue, regardless of who is (...) -
Le syndrome iranien
6 février 2011, parL’embarras de l’administration Obama et des gouvernements occidentaux à l’égard de la crise égyptienne suscite interrogations et critiques. Il est d’abord demandé au président Moubarak de se retirer au plus tôt. Ensuite, avec moins de fermeté, on lui conseille d‘organiser une transition sans violence sur la base d’élections véritablement démocratiques.
Derrière ces tergiversations se profile le syndrome de l’Iran en 1979. Le Shah avait vu l’administration Carter l’abandonner au nom des droits de l’homme. (...) -
L’Imbroglio du Siècle
25 juin 2010, parSans préjuger de ce que réserve l’avenir on peut supposer qu’en 2100 les historiens pourront caractériser la crise nucléaire iranienne comme le plus grand imbroglio du XXIéme siècle. Bien sûr, connaissant l’issue, ils pourront savamment distribuer bons et mauvais points de conduite. Tel n’est certes pas le cas des acteurs d’aujourd’hui. Déclenchée officiellement en août 2002, la crise nucléaire iranienne dure et pourra bientôt fêter son huitième anniversaire si tant est qu’il y ait là matière à (...)